Ce matin, nos jeunes pousses se sont réveillées au doux son de la mélodie des bois. Dès le réveil, l’excitation était palpable. Lors du déjeuné, nos aventuriers préférés ont pu offrir à Papy Gui leur cailloux enchantés. La vue de ce cadeau réchauffa son petit cœur et le rendit un peu moins désespéré.
Mais ! Attention, la malle du farfadet s’ouvre d’un coup. Ni une, ni deux, notre farfadet malicieux s’affaira à regarder son contenu. Un loto ? Mais que cela peut-il bien vouloir dire ? Les créatures féériques se prirent au jeu et jouèrent une petite partie. CARTON !! Et c’est notre chère licorne qui remporta la partie matinale. Mais qu’est-ce qui dépasse de la malle du farfadet ?? Une photo d’un éléphant rose ? C’est alors que Papy Gui nous signala qu’il s’agissait de son doudou ! Mais pourquoi n’est-il pas en sa possession ? Que cela peut-il bien vouloir dire ?
Après le débarbouillage matinal, nos jeunes pousses et êtres des bois s’en allèrent dans la clairière pour démêler quelque peu cette histoire. Pour nous aider, nous fîmes à nouveau appel à la force du soleil et de la terre en l’invoquant grâce à nos traditionnels mouvements de Kung-Fu. Malheureusement, les esprits élémentaires ne purent nous donner de réponse précise.

Les jeunes explorateurs décidèrent de réfléchir sur le mystère de malle et s’en allèrent avec nos créatures féériques. Ce fut au tour d’une nouvelle troupe de surfer sur les feuilles volantes vers la civilisation pour rejoindre le bassin merveilleux du Manoir et barboter joyeusement. Pendant ce temps, le reste des jeunes pousses se séparèrent en petits groupes pour accompagner les êtres de la forêt. Certains partirent à nouveau à la chasse aux lucioles scintillantes en compagnie de nos farfadet malicieux et d’une fée. D’autres partirent explorer les alentours de la forêt enchantée pour en découvrir ses recoins cachés. Les derniers jouèrent au célèbre devine-créatures, dont les rires égayèrent la forêt.

Les explorateurs en herbes prirent également le temps d’améliorer le campement dans notre chère forêt. Ils fabriquèrent des cabanes de tailles et formes variées, au cœur des rochers, entre les arbres et sur les bottes de terre fraîche.
Toutes ces activités amusantes ouvrirent l’appétit de nos jeunes détectives qui prirent alors le chemin de la clairière gourmande. Au menu : œufs mimosas, nouilles chinoises aux légumes et poulet, et, pour terminer en beauté, une salade d’oranges et grenade d’une fraîcheur inégalée.
Après ce festin, les lucioles éteignirent leur lumière et nos jeunes pousses un peu fatiguées profitèrent d’une bonne sieste bien méritée.
Le doux son mélodieux des esprit élémentaires réveilla nos détectives en herbe. La fée Aliénor s’inquiétait de l’état de Papy Gui. En effet, selon l’ancien esprit de la forêt, Mélanie, Papy Gui était tout chamboulé depuis que la malle nous avait révélé une photo de son doudou favoris. Mais … Quoi donc ? Que nous apprend Aliénor ? Le doudou a disparu !!! Fichtre. Les créatures enchantées lancèrent alors les jeunes pousses sur la piste du doudou perdu.

Les énigmes des fées aidèrent les jeunes détectives. Mais le langage des fées semble avoir une volonté propre. Déchiffrer les phrases pour trouver le lieux se révèle plus difficile que prévu. Les indices semblent mener vers divers endroits précis de la forêt de Ravoiria, à l’Antenne, au terrain de foot, à l’hôtel… Une fois les emplacements déchiffrés, encore faut-il réussir à convaincre les esprits malicieux de nous donner des indices sur le lieu final. Et ça, ce n’est pas chose facile ! Entre sudoku, charades, rébus, labyrinthe et Memory en tout genre, les esprit mirent au défis les méninges de nos détectives en herbe.



Grâce à leur persévérance à toute épreuve, leur sens de la déduction et de l’orientation, les jeunes pousses arrivèrent à retrouver le doudou. Figurez-vous qu’il était caché dans le four à pain de la clairière du bus volant le petit malin ! Les enfant rendirent son doudou à Papy Gui et oooh ! Quelle joie sur son visage ! Quelle énergie retrouvée ! Même la forêt repris de ses belles couleurs !! Nous pouvons même apercevoir les paillettes voleter à nouveau dans le vent. Papy remercia grandement les valeureux détectives en herbes de lui avoir ramené son doudou chéri en partageant du pain frais et du chocolat.

Après cette effusion de douceur et de joie, il fut à nouveau temps de faire un tour sous la cascade purifiante des nymphes des
La suite de l’après-midi fut calme et les enfant purent profiter de leurs cabanes, de jeux en tout genre, bricolages et autres dessins fantastiques et pleins de belles paillettes.
La forêt semblait aller bien mieux mais après toutes ces investigation, les estomacs de nos héros s’impatientaient. Ce fut le temps de retourner à la clairière gourmande pour se restaurer. Au menu : salade de carottes à l’orange, suivie de saucisses de veau sauce moutarde, écrasée de pommes de terres et légumes, et pour finir, séré aux fruits.
OH ! MAIS NON !! A peine le souper terminé, deux individus nous interrompirent ! DES VOLEURS ! Mais que font ces chenapans dans notre forêt ?? Elle saisissent le doudou de Papy Gui !

Les jeunes pousses découvrirent que le doudou étaient placé dans la prison enchantée de la forêt. Pour satisfaire la banque et récupérer le doudou, il fallait remporter les défis lancés par les créatures enchantée afin d’amasser un trésor suffisant pour faire l’échange. Parmi les défi, nos jeunes pousses essayèrent de battre la licorne au bras de fer, de trouver les bonnes cartes chez Virgile le farfadet malicieux, de trouver la bonne combinaison aux dés du preux chevalier perdu Owen, de remporter la mise chez la fée Aliénor et de se faire lire l’avenir dans les carte de note chère arc-en-ciel Léa.




Au terme de cette folle soirée endiablée, nos héros de la forêt réussirent tant bien que mal d’amasser la somme requise par la banque. Et oui !! Nous avions ENFIN récupéré le doudou ! Papy Gui pourra être content en le retrouvant demain matin.
Ce fut les yeux pleins d’étoiles, de magie et de satisfaction que nos jeunes poussent allèrent se coucher pour un repos amplement mérité.
En espérant que rien de trop fafelu n’arrive encore à cette chère forêt enchantée …..
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